Le rapatriement de corps est soumis à plusieurs obligations législatives.
Vous devez respecter les étapes suivantes :
Assurez-vous que les opérateurs funéraires choisis aient l'habitude de ces procédures pour assurer une parfaite prise en charge.
Différentes aides existent pour le rapatriement de corps.
Premièrement vous pouvez avoir anticipé les choses et avoir souscrit une assurance décès spécialisée intégrant le rapatriement de corps à l'étranger.
Si ce n'est pas le cas, un soutien financier du consulat peut être envisageable. Cela reste assez rare et variable selon le pays impliqué.
Enfin il existe des aides financières en France pour couvrir ces frais, et nous proposons un outil gratuit pour vous aider à les identifier.
Nous mettons à disposition divers moyens de paiement, que ce soit par carte bancaire, virement ou en partie en espèces. De plus, nous proposons les versements échelonnés sur 12 mois. Le paiement peut être partagé entre plusieurs personnes, incluant des associations ou des entreprises.
Rapatrier un défunt à l'étranger nécessite de connaître diverses contraintes réglementaires et logistiques. Sélectionner un opérateur expérimenté dans le domaine, comme Advitam, est indispensable pour éviter tout désagrément.
La réponse dépend de la réglementation en vigueur locale.
Les pays de tradition musulmane autorisent l'enterrement dans un linceul blanc, sans l'usage d'un cercueil, alors que d'autres l'interdisent. Il est recommandé de consulter l'opérateur funéraire local sélectionné pour obtenir une réponse précise.