Une urne funéraire est indispensable lors d’une crémation.
Les cendres du défunt sont déposées dans un cendrier cinéraire, que l’on place ensuite dans l’urne. Cela permet de conserver sur le long terme ou provisoirement (si l’on décide de les disperser) les cendres.
Les urnes funéraires doivent répondre à plusieurs obligations réglementaires :
Généralement les crématoriums proposent de conserver l’urne jusqu’à 1 an après la crémation. Cela permet à la famille de prendre le temps de décider de ce qu’elle souhaite faire des cendres et de prendre les dispositions adéquates.
Si l’urne n’a pas été récupérée au bout d’un an, les cendres seront dispersées dans le jardin du souvenir attenant au crématorium.
Les urnes funéraires n’ont pas besoin d’être homologuées et aucun texte de loi ne stipule leurs tailles ou dimensions, ce qui ouvre un très large choix possible aux familles.
Voici quelques unes des caractéristiques communes des urnes funéraires :
La famille peut fournir l’urne à l’agence de pompes funèbres si elle le souhaite, sans oublier la plaque d’identification. L’urne doit représenter le défunt et le choix est donc réfléchi.
On peut choisir d’inhumer ou de disperser les cendres.
Dans un cimetière, l’urne peut être inhumée dans une case de columbarium, dans une cavurne ou une une sépulture.
Il est également possible de disperser les cendres en pleine nature ou dans un jardin du souvenir.
Elle peut être aussi inhumée dans une propriété privée mais les réglementations sont très strictes.
Pour plus d’informations, vous pouvez directement consulter notre guide sur les possibilités légales concernant les cendres du défunt.